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Liaisons et réservation de transport en Taxi Moto

Il existe plusieurs moyens de se rendre à l’aéroport de Paris-Orly via les transports en commun.

RER / Orlyval

Orlyval devant le terminal Sud.
RER B jusqu’à Antony, puis Orlyval. Temps de parcours moyen entre Paris (Châtelet – Les Halles) et Orly : 25 minutes ; entre Antony et Orly : 8 minutes. Deux stations desservies :
Orly-Ouest ;
Orly-Sud.
RER C :
sens Banlieue-Paris : trains GOTA (vers Montigny – Beauchamp) et NORA (vers Pontoise) ;
sens Paris-Banlieue : trains ROMI (vers Pont de Rungis – Aéroport d’Orly) et MONA (vers Massy Palaiseau).
La navette bus « Paris par le train », exploitée par Bièvre Bus Mobilités, relie les terminaux à la gare du Pont de Rungis – Aéroport d’Orly. Temps moyen de parcours depuis gare d’Austerlitz : 35 minutes.

Dans les faits, l’aéroport de Paris-Orly souffre de l’absence de liaison ferroviaire directe, ce qui a nui à son développement.

Dans le cadre du projet de ligne dite LGV Interconnexion Sud, il est prévu qu’une gare TGV soit implantée près ou au cœur de l’aéroport, ainsi qu’une interconnexion d’OrlyVAL au RER C38. Le projet de Grand Paris Express prévoit également qu’une station de ce « Métro du Grand Paris » soit construite à l’aéroport, desservie par la ligne 18 et le prolongement de la ligne 14. La gare d’Orly du Grand Paris Express sera implantée entre les deux aérogares Orly Ouest et Orly Sud à une profondeur de 21 m. Elle accueillera, côte à côte, les lignes 14 et 18 du Grand Paris Express et offrira un accès direct au bâtiment de jonction des aérogares, qui sera construit par ADP39,40.

Tramway

La ligne 7 du tramway relie la station de métro Villejuif – Louis Aragon, un des terminus de la ligne 7 du métro de Paris, à la station de tramway Porte de l’Essonne, à Athis-Mons, en passant sous l’aérogare d’Orly Sud. Cette ligne reprend, depuis son inauguration le 16 novembre 2013, la partie nord de la ligne de bus RATP 285 qui, avant cette date, reliait la station de métro précitée à la gare de Juvisy.
Bus
Les temps de parcours, soumis aux aléas du trafic routier, ne sont données qu’à titre indicatif.

La ligne de bus RATP 183 relie Orly Sud à la Porte de Choisy (ligne 7). Le temps moyen de parcours est de 40 minutes. Les fréquences de passage sont de 30 à 45 minutes. C’est la solution la plus économique pour rejoindre la capitale (1 ticket t+).
La ligne 283 dite Orlybus relie la gare Denfert-Rochereau à Orly Ouest et Orly Sud en 30 minutes. Les fréquences de passage sont de 10 à 20 minutes. Le forfait Navigo ou la carte Imagine’R sont acceptés s’ils couvrent au moins les zones 1 à 4.
Noctilien (bus de nuit)
La ligne Noctilien N22 relie la gare de Châtelet – Les Halles à la gare de Juvisy en passant sous l’aérogare d’Orly Sud.
La ligne Noctilien N31 relie la gare de Lyon à l’aérogare d’Orly Sud.
La ligne N131 relie la gare de Lyon à la gare de Brétigny et dessert les aérogares Sud et Ouest. Temps moyen de parcours depuis la gare de Lyon : 20 minutes, depuis Juvisy, 15 minutes, depuis Brétigny, 1 heure.
La ligne N144 relie la gare de l’Est à la gare de Corbeil-Essonnes et dessert l’aérogare Sud.
Autres[modifier | modifier le code]
La ligne 91.10 du réseau de bus Albatrans relie l’aéroport à Massy-Palaiseau RER B et C.
La ligne Express 191.100 relie Yerres et le marché international de Rungis via Orly Sud et Orly Ouest. Temps moyen de parcours : 45 minutes depuis Yerres, 20 minutes depuis Juvisy, 20 minutes depuis Rungis.
La ligne 1 du réseau de bus Cars Air France permet d’aller jusqu’à la place Charles-de-Gaulle en passant par la porte d’Orléans, la gare de Paris-Montparnasse et les Invalides.
La ligne 3 du réseau de bus Cars Air France permet d’effectuer directement le trajet Orly ↔ Roissy-CDG.
Une navette VEA permet de faire la liaison directe entre Orly et Disneyland Paris. Temps moyen de parcours depuis l’aéroport : 45 minutes.
Liaisons routières en Taxi Moto avec Vip Cab Paris Services Taxi Moto

Vue sur la nationale 7 à hauteur de Paray-Vieille-Poste, montrant le côté nord de l’aérogare d’Orly Sud et la tour de contrôle.
L’autoroute A106 relie l’aéroport à l’autoroute A6 en direction ou bien en provenance de Paris.
La nationale 7 passe sous l’aérogare d’Orly Sud et à hauteur de Paray-Vieille-Poste.
L’autoroute A86 passe tout près d’Orly et permet de rejoindre la nationale 7 au niveau du centre commercial de Belle Épine à Thiais.
L’autoroute A10 à hauteur de Wissous permet de rejoindre facilement l’aéroport de Paris-Orly, en utilisant successivement les autoroutes A6b, A86 et A106.

L’aéroport de Paris-Orly2 (code AITA : ORY • code OACI : LFPO) couramment abrégé en « aéroport d’Orly » est un aéroport francilien situé à quatorze kilomètres au sud de Paris, près de la commune d’Orly. L’aéroport, ses aérogares et ses pistes, sont réparties à cheval entre les départements de l’Essonne et du Val-de-Marne. Il est placé sous l’autorité du préfet du Val-de-Marne3.

Il est essentiellement utilisé pour les vols nationaux, européens, et les vols à destination du Maghreb, du Moyen-Orient et des DOM-TOM français.

Deuxième plate-forme aéroportuaire de France après l’aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle, il était en 2010 le onzième aéroport européen, avec 25 203 639 passagers. Il est divisé en deux aérogares principales : l’aérogare Sud et l’aérogare Ouest (quatre halls) et dispose de trois pistes. L’aéroport compte aussi une aérogare de fret et une zone d’entretien. Il est géré par la société Aéroports de Paris (ADP).

Orly Sud

Rez-de-chaussée de l’aérogare d’Orly Sud.

Premier étage de l’aérogare d’Orly Sud.

La construction de l’aérogare d’Orly Sud a débuté en février 1957 et s’est achevée en février 1961. L’aérogare a marqué l’évolution de l’aéroport et lui a donné une renommée internationale. Elle a été inaugurée par le général de Gaulle, ajoutant un mot resté célèbre dans l’histoire de l’aéroport : « Si jamais un ouvrage justifia la fierté de ceux qui l’ont édifié de leur cerveau et de leurs mains, c’est bien celui que voilà, à la rencontre du ciel et de la terre… ». Son architecture, conçue par Henri Vicariot, est entièrement métallique, fondée sur des méthodes importées d’Amérique du Nord (Lever House). Le large recours à l’acier, à l’aluminium et aux murs-rideaux (les premiers en France) est alors une innovation technique majeure.

La nationale 7 a été déviée lors de la construction de l’aérogare. C’est la première fois que cet axe est retracé depuis la période romaine. Elle passe désormais sous l’aérogare Sud et sous les taxiways ; l’automobiliste voit parfois un avion manœuvrer juste au-dessus de lui. De loin, il voit l’aérogare scintiller, et barrer de manière spectaculaire l’axe vers Paris.

L’aérogare se déploie face aux pistes en une barre de plus de 700 mètres de longueur, constituée d’un bâtiment principal de 200 mètres et de deux jetées latérales. Elle est profonde de 70 mètres. Cette disposition permet de limiter à 300 mètres le parcours à pied des voyageurs, soit sensiblement moins que la distance pour rejoindre la tête d’un train sur le quai d’une gare.

Le grand hall au premier étage est, à l’époque, d’une dimension inconnue dans un bâtiment public, et donne au visiteur une impression d’espace remarquable, grâce à son atmosphère lumineuse et aérée. Les murs-rideaux offrent une vue imprenable sur le tarmac et permettent d’y observer l’activité autour des avions, qui paraissent à portée de main. Les boutiques de luxe, le cinéma, l’accès aux terrasses, les bars, les restaurants en feront un pôle d’attraction touristique majeur. Dans les années 1960 et 1970, cette aérogare constituera une véritable vitrine de la France. Le succès est tel que l’aérogare deviendra le monument le plus visité de France devant la tour Eiffel.

L’atmosphère sonore a elle aussi été soigneusement pensée, pour donner une sensation plus calme que celle régnant dans les gares de l’époque. Plus de 3 000 haut-parleurs de faible niveau sonore sont répartis dans l’aérogare. Une voix féminine suave égrène les destinations les plus exotiques. Les messages de service ne sont pas envoyés par haut-parleur, mais par radio à chaque agent, soulageant ainsi le visiteur d’informations qui ne lui sont pas utiles.

Après l’achèvement en 1962 des jetées latérales, l’aérogare s’est agrandie.

Orly Ouest

Premier étage d’Orly Ouest. Au centre, on peut voir le fameux globe d’Orly Ouest, nommé « l’Astrolabe »
La construction d’Orly Ouest, lancée en 1967, est inaugurée le 24 février 1971. Les halls 2 (rénové en 2006 pour accueillir les vols « La Navette » d’Air France) et 3 sont inaugurés ce jour-là. Elle a été conçue par les architectes Vicariot, Coutant, Vigouroux et Laroche. En 1986, le hall 4 est mis en service. Le hall 1 est inauguré en 1993, conçu par Paul Andreu.

Son architecture est elle aussi métallique. Mais surtout, la conception est novatrice. L’aérogare est conçue pour faciliter l’embarquement rapide et efficace des passagers.

Tout d’abord, les niveaux sont séparés, le premier étage servant à l’embarquement, et le rez-de-chaussée aux arrivées. Ensuite, la répartition dans le hall permet au passager de trouver rapidement son comptoir d’embarquement. Le 16 novembre 2011, le premier système en France de dépose bagage automatique, permettant aux passagers d’enregistrer eux-mêmes leurs bagages en trente secondes, y a été testé26,27. Enfin, le déploiement des passerelles, les premières en France, permet un embarquement rapide des voyageurs, directement de l’aérogare dans l’avion.

Au premier étage, il y a un globe nommé « l’Astrolabe »28, devenu un emblème d’Orly Ouest, censé représenter le système solaire.

La maison de l’Environnement

La maison de l’Environnement.
La maison de l’Environnement de l’aéroport d’Orly est un lieu d’information et de documentation pour le grand public. Ce lieu permet de découvrir l’histoire de l’aéroport, les procédures de la circulation aérienne et les activités de l’escale sur l’aéroport. Des expositions sur l’environnement, sur la prévention et le contrôle des nuisances dues au trafic aérien y sont fréquemment organisées. Des anciens contrôleurs aériens d’Orly y font des vacations pour apporter toutes les explications nécessaires aux visiteurs. Les riverains peuvent y visualiser les trajectoires des avions, en cas de litige. Le premier rôle de cet établissement dépendant d’ADP est de permettre une meilleure communication de l’aéroport avec les riverains autour d’Orly. Chaque année, des rencontres y sont organisées exposant au public les formations aéronautiques.

Ce bâtiment contemporain (1995) est similaire à la maison de l’Environnement construite à Roissy par ADP, sur les plans de l’architecte Pierre-Michel Delpeuch assisté par l’architecte Graciela Torre. Très lumineux et donnant une vue panoramique sur l’aéroport d’Orly, il est entouré de plantations de charmes conçus par les paysagistes de l’agence Signes.

Le bâtiment est ouvert du lundi au vendredi de 9 h à 16 h 30. L’entrée et le parking sont gratuits.

Autres bâtiments
Le pavillon d’honneur

Pavillon d’honneur d’Orly vu du côté de la zone publique.

Le président des États-Unis, Barack Obama à Orly le 5 juin 2009 pour sa première visite officielle en France.
Un pavillon d’honneur existe à Orly, situé juste à côté de l’aérogare Ouest. Il permet la réception de chefs d’État et autres responsables politiques de tous pays lors de leurs déplacements aéroportés. Les cérémonies qui s’y déroulent sont plus ou moins prestigieuses selon les demandes de la délégation du pays concerné. Elles sont placées sous la surveillance étroite des forces de l’ordre pour parer à tous risques d’attentat. Ce pavillon accueille les papes de l’église catholique lors de leurs déplacements en France. Benoît XVI y a été reçu le 12 septembre 2008. Il est entouré de mâts sur lesquels sont accrochés les drapeaux du pays accueilli. Son surnom est « l’isba » car son premier hôte fut Nikita Khrouchtchev, président du Conseil des ministres (Gouvernement) de l’ex-URSS. Il existait un ancien pavillon en bois transféré comme aérogare à l’aéroport de Toussus-le-Noble où il a brûlé accidentellement.

Le centre de contrôle en route
Près de l’aéroport de Paris-Orly, sur le territoire de la commune d’Athis-Mons, se trouve le Centre de contrôle en route (CCR), appelé aussi Centre en route de la navigation aérienne (CRNA). Ce centre sert au contrôle aérien des avions lorsqu’ils sont en croisière, les prenant en charge pour les survols de la région parisienne ainsi que pour les régulations des départs et approches des aéroports du secteur, notamment Orly et Roissy.

La centrale
La centrale est un bâtiment qui intrigue souvent les passagers et les visiteurs. C’est à partir de là qu’est distribuée toute l’eau de l’aéroport, que ce soit pour l’eau potable, ou bien pour les climatisations. C’est également là qu’est reçue, transformée et redistribuée toute l’électricité dans l’aéroport.

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